Catégories : Hommes fessés
il y a 5 ans
Sur les conseils d’une amie, notre mère se décida pour l’achat du martinet tant redouté. Mais la marchande, très au fait des méthodes d’éducation, lui suggéra de faire également l’emplette d’un petit fouet. De quoi nous inciter, ma sœur Anne et moi, à une obéissance exemplaire.
Je dois à la vérité de dire que le calme régna dans la maison pendant quelques jours. Pas un mot plus haut que l’autre. Pas de retard à obéir ni de discussion ou de contestation… Bref, nous filions droit sous la garde vigilante et permanente du martinet et du petit fouet qui, depuis leurs crochets jumeaux à la cuisine, veillaient au bon ordre à la maison en toutes circonstances.
On jugera peut-être que, mieux que la seule autorité maternelle, il aura suffi de la simple présence de ces deux instruments de correction pour nous discipliner, mais j’invite celles et ceux qui penseraient cela à se faire fesser comme nous l’avions été avant d’émettre un quelconque jugement. Cela dit, il paraît évident que notre mère, afin de s’assurer qu’elle obtiendrait définitivement la paix de sa progéniture, allait chercher, selon mon impression, « la petite bête »…
Pendant ce temps, mon amourette avec Marie poursuivait son très chaste chemin. D’autre part, bien des activités et des intérêts communs unissaient Anne, Marie et moi. Mais s’il est un sujet qui, plus que le reste, cimentait la complicité de notre petit trio, c’était bien la… fessée ! Les jours passant, Marie nous fit remarquer que nos dernières fessées remontaient à une semaine et que, selon son expérience, c’était un répit anormalement long.
« Du reste, fit-elle remarquer, mon jeune frère a eu droit à sa séance de martinet pas plus tard qu’hier soir. »
« Pour quelle bêtise ? » demanda ma sœur, curieuse.
Marie haussa les épaules :
« Oh, Pas grand-chose, il avait laissé traîner ses petites voitures sur le carrelage du vestibule. Maman l’a grondé en lui expliquant que c’était dangereux, qu’on pouvait glisser dessus et faire une mauvaise chute, et comme il refusait de les ranger, elle a décroché le martinet et, hop, le short descendu, les fesses du frérot ont pris une bonne volée ! »
Nous étions tous trois d’accord pour dire que c’était « Beaucoup de bruit pour rien » comme ne nous l’avait pas encore appris Shakespeare. Mais nous n’avions guère de pouvoir en la matière pour changer l’ordre des choses. Restait l’observation de Marie : elle instillait en chacun nous de l’inquiétude sans que nous n’osions en parler pour conjurer nos craintes.
Par cette belle journée, où la chaleur était presque torride, nous étions allés pique-niquer et nous baigner dans la rivière. Nous étions vêtus légèrement : les deux filles portaient des jupettes très courtes et moi, un petit short de toile fine. Par-dessous, nous avions conservé nos maillots de bain encore humides de la baignade. De retour à la maison, nous nous attardâmes tous les trois dans le jardin autour d’un jeu de société. C’est alors que notre mère se chargea de nous ramener à une réalité plus immédiate.
« Je pourrais savoir lequel de vous trois a laissé la porte du réfrigérateur ouverte ? »
Le ton sans équivoque ne laissait rien présager de bon. Il faut dire que Marie, agissant en « fille de la maison » selon les consignes de Maman, pouvait se servir dans le frigo aussi bien que nous.
Qui avait commis l’erreur fatale ? Encore aujourd’hui je suis bien en peine de le dire. Toujours est-il que la question horripilante qui nous culpabilisait suscita un dialogue de sourds. Il faut dire que par cette chaleur les aliments frais risquaient de se gâter très vite.
Nous contemplâmes nos sandales de concert.
« QUI ? je ne vous le répéterai pas ! »
J’hésitai un instant en me disant que je pouvais sans doute épargner la punition immanente aux deux filles. J’y étais encouragé d’une certaine manière car bien des idées étranges et saugrenues trottaient dans ma tête depuis l’achat du martinet et du fouet. Des rêveries dans lesquelles tantôt j’étais fessé par Marie, tantôt j’étais fessé devant elle, tantôt je la fessais moi-même. J’étais loin de me figurer que c’était l’éveil de ma sensualité. A l’époque, on était moins renseigné que de nos jours !… Mais mon imagination m’avait troublé.
C’est, j’en suis désormais presque certain, c’est ce sentiment ambivalent vis-à-vis de la fessée qui me fit me dénoncer. Surtout, qu’on n’y voit pas l’acte courageux d’un héros mais bel et bien une attirance inconnue pour la fessée en public malgré la peur qui me serrait le ventre.
« Je pense que c’est moi Maman, je te demande pardon. »
Ma mère me toisa des pieds à la tête sans un sourire.
« Il n’y a pas de pardon qui tienne ! Le temps que je m’en aperçoive, certains aliments étaient déjà avariés dont le gâteau à la crème que j’avais préparé pour votre goûter. Et ceci par ta faute. A ton âge on doit être un garçon conscient de ses responsabilités. Je vais donc te punir, et te punir sévèrement. En attendant que nous réglions nos comptes, va dans la cuisine et mets-toi au coin ! »
Comme je me dirigeais vers la maison, ma mère fit signe aux deux filles.
« Et vous aussi, les filles, suivez-nous. Vous verrez comment je corrige ce grand dadais assez sot pour avoir la tête en l’air ! La leçon ne sera perdue pour personne.»
A la cuisine, le « coin » n’était autre que le fameux endroit où notre mère nous faisait mettre habituellement en pénitence ma sœur et moi en attendant la fessée. Mais depuis notre achat chez la droguiste, le « coin » avait été pourvu de deux crochets auxquels étaient suspendus le martinet et le petit fouet pour nous tenir désormais compagnie. Et ce n’est pas sans appréhension que j’en voyais le cuir luire devant mes yeux et mon nez en sentir l’odeur particulière.
Selon son habitude, ma mère s’était éclipsée pour me laisser méditer sur ma future expiation. Les deux filles en profitèrent pour se lancer à mi-voix dans un dialogue de conjectures.
« Mais pourquoi tu lui as dit ça ? » me demanda Marie, pendant que ma sœur opinait vigoureusement de la tête.
« Mais enfin, j’ai fait ça pour vous éviter la fessée ! » répondis-je non sans fierté comme si cela tombait naturellement sous le sens.
« Ce n’est pas juste parce que si ce n’était pas toi ? »
« Il n’y a pas de raison que tu sois le seul à en profiter ! » dit Marie en me lançant un clin d’œil moqueur et affectueux.
Nous nous moquâmes de nous-mêmes sur cette dernière phrase bien que je commence à regretter mon courage de pacotille.
« J’ai bien peur pour toi, tout de même…. Et si jamais ta mère prenait le fouet pour de bon cette fois ? » questionna-t-elle dubitative.
Me retournant, je vis que Marie fixait l’instrument de correction. Son expression était plus de curiosité que crainte. Etant régulièrement fessée chez elle, à la main mais aussi avec toutes sortes d’instruments, elle devait sans doute moins redouter que nous les innovations en la matière.
Des pas rapides résonnant sur le carrelage annoncèrent le retour de ma mère. Nous eûmes la surprise de constater un changement dans sa tenue vestimentaire. Elle avait troqué sa robe d’été contre un léger short et un t-shirt amplement décolleté dont elle devait escompter qu’ils laisseraient plus d’aisance à ses mouvements pour me fesser. Etait-ce aussi en prévision d’une séance plus chaude que d’habitude entre nous ?
« Donc c’est assez simple, Didier, commenta ma mère. Pour compenser le gaspillage de nourriture, je devrais faire une retenue sur ton argent de poche. Mais comme ce serait loin d’être suffisant, c’est ton postérieur qui va payer pour ta négligence. »
Elle marqua une pause puis :
« D’abord, par-dessus ton short. »
Nous y voilà ! Je sentis monter en moi une émotion que je tentai de réprimer en vain.
Maman s’approcha du coin, tendit une main vers les deux instruments de discipline, hésita. Lequel choisir ?… Ouf ! le martinet !
« Allons Didier, viens ici te courber au-dessus de la table de la cuisine ! »
Je me courbai en étreignant à deux mains les bords de la table anticipant la douleur à venir.
« Tiens ton short est mouillé ! remarqua ma mère d’un ton faussement indifférent. On dirait vraiment un bébé qui a mouillé sa culotte en s’oubliant ! »
Je rougis à cette remarque ironique qui concentra mon attention sur la partie inférieure de ma personne, champ d’application idéal pour cette forme de correction.
Je sentis à travers le fin tissu une sorte de caresse. En fait , ma mère était en train d’ajuster les coups futurs en faisant glisser les lanières du martinet sur mes fesses qu’elles s’apprêtaient à ravager. Elle en prenait la mesure en les faisant passer lentement de la fesse droite à la fesse gauche et inversement. Mes fesses se crispaient au contact de cette perfide douceur.
Un sifflement dans l’air et un claquement sec par le travers des fesses. Cela se mit à cuire un petit peu. Je comptai à voix haute : « Un ! ».
Ma voix ne tremblait pas. Pas encore du moins.
La deuxième cinglée visa mes cuisses. Sur la chair tendre, les longues lanières s’enroulèrent jusque sur le devant. Mes genoux fléchirent sous la douleur.
« Deux ! »
Puis la cadence s’accéléra , le martinet voltigeant des fesses jusqu’au bas des cuisses enflamma peu à peu toutes les parties cinglées. Je m’eff o r ç a is de ne pas pleurer. La double épaisseur constituée la superposition de mon short et de mon maillot mouillés qui se tendaient sur mes fesses ne me protégeait en rien de la vigueur des coups dont ma mère les punissait.
Les cinq dernières cinglées me semblèrent appliquées au fer rouge. N’enn pouvant plus, mes genoux se dérobèrent sous moi.
« Fin de la première partie » dit ma mère.
Je restai courbé sur la table, me demandant ce qu’elle voulait dire. Je ne tardai pas à être fixé. Ma mère retourna vers le coin, suspendit le martinet et… décrocha le petit fouet ! Dans la cuisine, bruissement que fit l’air que l’on aspire d’un coup l’air avalé confirma mes craintes : les deux filles avaient également compris que j’allais être fouetté.
Un instant plus tard, ma mère me fit redresser et, sans prévenir, abaissa d’un coup sec mon short et mon maillot de bain jusqu’ à mi-cuisses, dénudant mes fesses et mes cuisses. Aussitôt je me sentis rougir de honte en réalisant que mes rêveries devenaient réalité. Une fois de plus elles allaient voir mon postérieur nu. Et comme ma mère me courbait sous son bras dans l’une des postures classiques de la fessée, mes fesses saillirent et mes jambes s’écartèrent. Marie vit alors plus qu’elle n’aurait dû en voir les particularités anatomiques d’un garçon.
Cette seule pensée me troubla si fort que je n’entendis pas le sifflement du fouet et que seule l’explosion de douleur soudaine sur mes fesses nues m’avertit que la correction avait commencé. Je glapis. C’était le début de mon baptême du feu. Oh que ça faisait mal ! J’avais l’impression qu’une règle de fer rougie s’était posée sur mes fesses.
Le second coup de ce petit fouet atteignit les cuisses, les marquant d’une traînée brûlante. Insupportable ! Je tentai de me libérer de l’étreinte du bras de ma mère qui le resserra plus fortement autour de ma taille m’obligeant à me cambrer davantage.
Dès lors, elle se mit à me fouetter sans retenue, cinglant une fesse, puis l’autre, puis les deux ensemble, zébrant mes cuisses, et ce autant que la longueur de la lanière de cuir le permettait.
Les cinglées les plus douloureuses se produisaient quand la lanière ne mordait qu’une faible surface concentrant ainsi la cuisson sur une seule fesse ou une seule cuisse. Il me semblait que la lanière laissait des traînées brûlantes qui s’entrecroisaient pour tisser un réseau de feu. Puis, incapable de supporter davantage cette correction inconnue jusque là, incapable de me dégager, je n’eus d’autre choix que de tortiller mes fesses sans plus aucun souci de pudeur.
Ma mère me fouetta d’une bonne vingtaine de coups avant de me relâcher. La fin de cette correction inédite me laissa plongé dans un brouillard trouble où s’entremêlaient, sans que je puisse les départager, douleur, honte et aussi plaisir…
Je fus remis au piquet sans avoir la permission de me reculotter, exposant ainsi mes fesses et mes cuisses nues recouvertes de zébrures sous les yeux de ma sœur et de Marie. Ma gêne était intense, malgré les ondes brûlantes qui continuaient à parcourir mon fessier endolori. Et pourtant, je dois avouer que je ressentais un certain plaisir à avoir reçu le fouet face à ces filles sachant qu’elles étaient en train d’examiner les stries et les rougeurs ornant mes fesses et mes cuisses. Le nez contre le mur, j’imaginais, comme pour aggraver mon trouble, que n’importe qui pouvait entrer à l’improviste et se moquer du grand garçon qui vient de recevoir le martinet puis le fouet en public sur son derrière nu. La mère de Marie ou la droguiste, par exemple ?…
Après un quart d’heure de piquet, je fus autorisé à remettre uniquement mon short, le maillot étant mis à sécher, et à rejoindre les filles dans le jardin. Le contact direct avec la peau irritée de mes fesses ravivait la cuisson me rappelant au souvenir de la correction longtemps après.
Les filles m’accueillirent avec des félicitations pour mon sacrifice et me consolèrent gentiment. Je notai avec reconnaissance que Marie mettait plus d’ardeur à passer ses mains délicates sur mes cuisses pour en apaiser la chaleur.
Plus tard, la raccompagnant chez elle, je fus victime des remarques d’une dame qui avait aperçu les stries rouges sur mes cuisses. Je rougis de honte et me tins coi.
« Alors, on a été puni, jeune homme ? On dirait même bien avec une lanière de cuir. Un fouet peut-être ?… Je ne sais pas ce que tu as fait mais je pense que c’était mérité ! »
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